Planches représentant des modèles de pavillons de la marine suédoise en 1844 en fonction du grade du Commandant de bord. FRANOM FSB 298
SWEDISH PERIOD
La route des esclaves
Pour se rendre à Gustavia de nos jours, on emprunte la route qui longe le bord de mer et passe sous le Fort et le phare, rejoignant ainsi la rue de la République au niveau de la pharmacie. Cette route,… Lire la suite ›
Le navire d’Arkhangelsk
Le 22 mars 1815, devant Olof Enk BERGINS, procureur de Saint-Barthélemy, John Peter WIKSELL, Commandant et Pilote du port de Gustavia fait la déclaration suivante : « Le 1er aout 1813, vers onze heures du matin, la batterie du Fort Gustave… Lire la suite ›
La torture de Benjamin JOHNSON
Gustavia, 1817 La vie est alors violente sur notre île. Que ce soit à la campagne ou en ville, riche, pauvre, noir ou blanc, chacun doit faire face à la violence au quotidien. Il semble qu’il n’y ait pas un… Lire la suite ›
La note de Madame JOUMARD
Le 5 janvier 1819, l’épouse du commerçant JOUMARD produit une note des plus surprenantes. « Le porteur de ce document, mon esclave Mary, a la possibilité de se choisir un maître. Son prix est de deux-cent Dollars en espèces ». C’est à… Lire la suite ›
Préparations pour le recensement de 1819
Le 28 janvier 1819, Jean Louis L’ORANGE Commissaire aux dénombrements adresse à « Monsieur le Gouverneur Président, et à Messieurs les Honorables Juges et Membres de la Cour Civile de l’île de Saint-Barthélemy » : « A l’honneur de représenter à l’Honorable Cour qu’il… Lire la suite ›
Recensements des blancs et des esclaves de 1787 à 1794
Pendant les premières années de la période Suédoise, le nombre d’habitants pour Gustavia et pour la Campagne reste très bas. Le nombre d’esclaves pour ces huit années varie de 46% à 49% du total des habitants vivant sur l’île, et… Lire la suite ›
Jean Charles MARTIAL, un esclave à Saint-Barth
Le 24 janvier 1838, Marie Catherine LÉDÉE, veuve Benoit BERNIER, autorise son esclave Jean Charles à partir pour Saint-Thomas. Le 26 juin 1818, cette dame autorise ce même esclave à partir pour n’importe quel pays. Marie Catherine LÉDÉE est née… Lire la suite ›
The torture of Benjamin JOHNSON, a free black man.
Gustavia, 1817 Life is violent back then in Saint-Barth. Whether in the countryside or in town, rich, poor, black, or white, everyone had to deal with violence on a daily basis. It seems that there is not a single day… Lire la suite ›
Mirander and the whip, Gustavia, 1817
On the 22d of November 1817, Kirby, the Sergent of police in Gustavia addresses a report to the Court of Justice. « Whereas on Sunday last, the negro boy slave Mirander, the property of G.C.ROBINSON, did, with a large piece of… Lire la suite ›