Après avoir craché sur les tombes de l’époque Suédoises du cimetière de Lorient, on continue, et on fait tomber LES murs.
Certes, de loin, ils continueront de ressembler à des murs, mais ils ne seront plus que ça, réduits à ce rôle unique de n’être que de simples murs au bord d’une route.
Rien d’autre, que des murs.
On remplace leur âme, les nécessités d’un passé qu’on veut oublier ou transformer, l’histoire avec un petit h, la simplicité de leur construction par un cœur en béton ! Tout un symbole quand on y songe …
La version Hollywoodienne d’une île qui perd le nord !
Les murets de Grand Fond, l’interpretation libre d’une reconstruction à l’identique … Photo H.BERNIER
ancien muret en pierres sèche et corail – Photo Léon BERRY
rénovation à l’identique – Photo Léon BERRY
photo H.BERNIER
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The Saint-Barth Islander 
LES MURS ? AU FAIT ? N’APPARTIENDRAIENT-ILS PAS AUX PROPRIÉTAIRES DES TERRAINS ?
Bientôt … certains vont faire table rase de tous nos « DROITS » !!!!
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‘It’s only walls’ they say. Is it? Or do the walls represent centuries of traditions upon which generations have constructed their identities? What kind of human beings are we left with, when even the sacrosanct values that bind us as a community, are erased from our heritage without so much as a public debate? Although isn’t it fitting of this modern world? To replace what need not be replaced, destroy what ought to be preserved, and let the powers that be get away with it unscathed.
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